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jeudi 4 juillet 2024

HOMAGE Francois de Siebenthal.

Plus de 300 personnes ont assisté aux obsèques de Francois de Siebenthal dans l'église catholique de Lausanne et malgré la pluie, de nombreuses personnes ont encore rendu un dernier hommage au cimetière en recouvrant son cercueil de roses. Il n'y avait pas de journaliste prostitué pour rédiger un nouvel article mensonger et orienté pour promouvoir encore du produit injectable toxique et leur mondialisation qui passe par la destruction des pays, de la famille et de la justice, des valeurs jugées "d'extrême droite". Voici le texte rédigés par ses enfants : Hommage à Papa Le temps s'est arrêté, car tu nous as quitté Nous ne sommes pas grand chose, une simple humanité Des hommes et des femmes qui foulont la même terre Des êtres vivants sur un p^tit bout d'univers Nous venons au monde tous de la même façon Puis nous le quittons pour mille et une raison La vie est une si grande et belle aventure Dont on ne sort jamais vivant. C'est la nature Le temps s'est arrêté, car tu nous as quitté Nous ne sommes pas grand chose et pourtant dans nos yeux Tu représentes l'univers, tu étais aimé Bon vivant, de l'amour, tu étais généreux Toi le cousin, le tonton, le fils ou le frère Le mari et d'une ribambelle d'enfants le père Un lolo gâteau, tant adoré, câliné Mais aussi un ami, un compère par milliers Le temps s'est arrêté, figé dans nos souvenirs Nous ne sommes pas grand chose, mais à n'en plus finir Militant investi, invétéré sportif Tu étais de toutes les bêtises, toutes les manifs Anecdotes d'un fafignolet ou de l'armée Souvenirs racontés, souvenirs partagés Tu as fait rire la galerie à bien des reprises Car savoir rire de soi-même est toujours de mise Le temps s'est arrêté, car tu nous as quitté Nous ne sommes pas grand chose, chacun sa destinée On se conforme ou on nage à contre courant Dans les rivières, les saumons remontent fièrement Tu as inondé la terre d'idées, de prières Parfois farfelues mais aussi si visionnaires Bien souvent incompris, tu n'en avais que faire De tous les combats, c'était ta dernière guerre Le temps s'est arrêté car tu nous as quitté Nous ne sommes pas grand chose, pas plus vous, lui ou moi Il a rejoint les cieux, le rêveurs éveillé Soyons pas morose, il veille par delà les toits Marina, sa fille.

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