Powered By Blogger

mardi 28 mai 2024

Ils l'ont fait !

Ils l'ont fait !
http://savoie-gouv.org/ Lettre Ouverte aux Savoisiens et aux Citoyens du Monde Entier Comme vous le savez sans doute déjà, l'État de Savoie a recouvré sa totale Souveraineté tout récemment. La date du 27 octobre 2023 est en effet celle de la libération d'un territoire colonisé depuis plus de 160 ans, celui de la Savoie. Dans l'histoire du monde, que ce soit officiellement ou dans l'ombre, il y a toujours eu des femmes et des hommes de cœur et de conviction qui ont osé s'engager pour leur pays, leur famille, leurs enfants et petits-enfants. Certes il arrivera que de mauvais esprits, parfois mal intentionnés, se moqueront de vous et de nous… Mais en toutes circonstances et parfois les plus sombres, ce sont toujours les volontaires de la première heure qui ont fini par gagner. L'histoire du monde est pleine de ces exemples d'humanité. L'histoire de la Savoie est une richesse incontournable, le présent de notre Savoie est entre nos mains, et le futur, parce que nous y croyons tous, est un avenir riche de sens, riche de créativité, riche de vie ! La Savoie libre et indépendante sera le résultat d'une union forte et concrète des Savoisiennes et des Savoisiens. Mais cette Savoie libre pour laquelle vous oeuvrerez est également un modèle pour le monde, au même titre que les pays africains qui les premiers ont osé se libérer de leur colonisation. Être ainsi, tous ensemble, créateurs d'un modèle de vie, de valeurs, de sens, d'ambition altruiste, d'amour et de partage est une fierté inestimable qui nous appartient tous. Accueil 20240227 Sachez que tout ce nous entreprenons ensemble est fait pour le bien-Être des Savoisiennes et des Savoisiens et vous sera expliqué en toute transparence. Ces derniers mois, nous vous écoutons, nous prenons en compte vos rêves et vos craintes, vos souhaits les plus sincères et ces angoisses quotidiennes que beaucoup d'entre nous vivent aussi. Ce monde que nous sommes en train de créer ensemble repose sur des valeurs humanistes réelles, avec la prise en compte de vos ressentis et de vos idées. Voilà pourquoi votre présence et votre engagement nous sont indispensables. Notre première mission est de vous démontrer que nos démarches et nos actions sont sincères, éthiques, honnêtes. Vous le constaterez d'ailleurs par vous-mêmes car pour défendre une cause, une volonté de justice, une vision de paix et de sérénité, il est important d'y croire certes, mais il est surtout indispensable de le vivre. Dans un monde fait de mensonges et de manipulations, un monde dans lequel les jaloux, les envieux, les avides du pouvoir sont prêts à tout pour nous détruire, la foi, la vérité et surtout le nombre sont notre véritable force. Ces mots présomptueux et vides de sens que sont gouvernement ou administration sont révolus, raison pour laquelle nous leur préférons celui de CONSEIL DE GOUVERNANCE qui image mieux notre raison d'Être, celle d'un État Souverain au service de son Peuple. 2024 sera une année de défis importants pour lesquels nous aurons besoin de vous. Soutenir le Gouvernement, pourquoi ? Tous les membres de la Gouvernance sont des bénévoles et pour assurer leur mission, ils engagent des frais à titre personnel : frais de déplacements, d'hébergement, frais postaux notamment... Merci de vous rendre sur la page des Donations, en cliquant ici. Le Conseil de Gouvernance de l'État de Savoie EtatDeSavoie Signature federatrice 400

Quelques lectures :

Quelques lectures : "Sociocracy : The Organization of Decision Making", Gerard Endenburg, Eburon, 1998 "La démocratie se meurt, vive la sociocratie", Gilles Charest, Centro Esserci, 2007 Bon à savoir Les effets recherchés par ce mode de fonctionnement sont l'instauration d'une confiance entre les membres du cercle et la fiabilité des décisions prises. On constate que le temps nécessaire à la prise de décision, à priori plus important que dans une organisation autocratique, est très largement compensé par la qualité de la décision et l'adhésion de chaque intéressé à celle-ci. Mais il faut bien noter que le cercle est un lieu de prise de décision, pas de débat. Le rôle de l'animateur est donc essentiel et il se doit de maîtriser parfaitement le processus sociocratique. Le groupe doit en contrepartie respecter ses consignes. On constate également qu'une communication irréprochable (sans jugement, authentique et argumentée sous forme de besoins satisfaits et/ou non satisfaits) tend à rendre le processus efficient.

Quelles sont les structures qui peuvent vous aider ?

Quelles sont les structures qui peuvent vous aider ? Centre Français de Sociocratie Il regroupe les professionnels formés à ce mode de gouvernance, et qui restent dans une démarche de perfectionnement continu. Plusieurs ont obtenu un agrément du Centre Mondial de Sociocratie, pour leurs activités de formation, de conseil ou de facilitation. Pour en savoir plus www.sociocratie-france.fr Sociogest C'est un cabinet canadien qui a acquis depuis une vingtaine d’années une expérience dans l’accompagnement des personnes et des organisations selon le mode de gouvernance sociocratique, dont en France et en Suisse. www.sociogest.ca

Comment instaurer la sociocratie en organisation ?

Comment instaurer la sociocratie en organisation ? La méthode d'organisation en cercles sociocratiques repose sur quatre règles issues de la cybernétique (théories des systèmes de contrôle/commande) : 1. La prise de décision par consentement : Le consentement signifie l'absence d'objection motivée par des arguments valables. En d'autres termes, aucune décision d'ordre politique (qui affecte le fonctionnement de l'unité ou l'organisation du travail) ne sera prise si un des membres y oppose des objections raisonnables. Lorsque toute objection est levée, la décision est validée. 2. Le cercle : Le cercle est le groupe d'individus constitué en vue de réaliser une fonction clairement identifiée ; il est un sous-système de l'organisation et inclut le responsable de ce sous-système. Il établit ses propres règles de fonctionnement sur le principe du consentement de ses membres et est maître de l'exécution, de la mesure et du contrôle de son processus. Aucun cercle n'a pour autant une autonomie totale : chacun doit tenir compte des besoins des cercles supérieurs (représenté par le responsable de l'unité) et inférieurs (représenté via les doubles liens). Le cercle de plus haut niveau, correspondant au cercle de direction, doit représenter l'environnement de l'organisation le plus vaste possible : investisseurs, clients, cadres, représentants légaux, politiques, etc. 3. Le double lien : Un cercle est relié à son cercle supérieur par deux personnes : le responsable de l'unité et un membre délégué (choisi par consentement). Ces deux personnes sont membres du cercle supérieur (double lien). 4. L'élection des personnes par consentement : Le choix et l'affectation des personnes dans une fonction ou la délégation d'une tâche s'effectue par consentement. Chaque participant écrit le nom de la personne qu'il choisit sur un papier. L'animateur du cercle regroupe les papiers, lit chaque proposition en demandant à la personne de motiver son choix. Une fois que tout le monde s'est exprimé, un deuxième tour est réalisé pour savoir si certains, suite aux motivations énoncées, souhaitent changer de choix. Plusieurs tours peuvent être nécessaires et, lorsqu'il n'y a plus d'objection pour un candidat, celui-ci est sélectionné. Les principes de la méthode sociocratique sont simples à comprendre intellectuellement, mais c’est autre chose de les vivre ! Pour y parvenir, on ne peut faire l’économie d’un développement des personnes et des organisations. L’expérience nous apprend que ceux qui veulent rendre leur organisation sociocratique cherchent en fait à consolider et approfondir des pratiques empiriques déjà présentes. Ce qui change avec ce travail de l’organisation sur elle-même, c’est que les principes sociocratiques sont graduellement intégrés par l’ensemble des membres, en les vivant. La participation aux décisions ne dépend plus du style personnel d’un dirigeant, cela devient une auto-régulation dans laquelle chacun est équivalent.

Comment partager le pouvoir et transformer les relations entre humains ?

Comment partager le pouvoir et transformer les relations entre humains ? Il est intéressant de superposer à la structure d’exécution, une structure de prise de décision qui respecte certaines règles : le cercle sociocratique comme lieu de prise de décision ; le consentement (et non consensus) comme mode de prise de décision ; le second lien entre deux niveaux hiérarchiques ; l’élection sociocratique sans candidature préalable. Vous trouverez l’explication de ces 4 règles ci-dessous. La mise en œuvre de ces principes rétablit la communication du bas vers le haut de l’organisation, et fait passer les buts communs devant les intérêts particuliers.

Partager le pouvoir selon le principe d’équivalence permet de

Partager le pouvoir selon le principe d’équivalence permet de : Économiser beaucoup de temps et d’énergie dans la réalisation des missions de l’organisation, parce que les résistances ont pu être exprimées et ont été obligatoirement utilisées pour l’amélioration de la décision. Instituer des lieux de parole qui fédèrent les talents de tous les membres de l’organisation au service de la vision commune et qui encouragent la formation et l'expression du leadership. Rendre l’organisation plus créative par la définition de règles de fonctionnement qui satisfont les besoins de chacun. Cela permet une fluidité entre les différents niveaux hiérarchiques, chaque partie ayant sa mission indispensable pour l’ensemble. Il s’agit donc de créer les conditions d'une intelligence collective qui, seule, pourra mener les entreprises et les organisations sur la voie d'une grande efficacité et d'une plus grande responsabilité sociétale. Conforter l’autorité des chefs dans la mise en œuvre de la politique qui a été décidée par leurs équipes : les décisions de type opérationnel relèvent de la responsabilité de chacun, selon les mandats attribués par l’organisation.

Réguler le pouvoir dans les organisations part 1

Réguler le pouvoir dans les organisations part 1 Nous sommes quotidiennement plongés dans des groupes et des institutions qui peuvent être soit dynamisants, soit destructeurs. La personnalité de leurs membres ne suffit pas à l’expliquer. Les structures et les règles de fonctionnement de l’organisation influencent à notre insu les comportements et les relations humaines. Face aux rapports de force, aux égos individuels et aux relations pyramidales que connaissent les organisations, trouver une alternative aux modes de gouvernance actuels et réguler le pouvoir dans les organisations sont des enjeux de taille. La sociocratie, qui s'applique à toutes les formes d'organisation, est une alternative. Présentation du mode de gouvernance sociocratique Souvent, on institue des règlements et des mécanismes de contrôle pour maîtriser les dérives, c’est la logique bureaucratique. Elle a tendance à étouffer l’innovation. Dans d’autres cas, en particulier dans le milieu associatif, on affaiblit la structure hiérarchique et on travaille dans des groupes-projet éphémères, c’est la logique de réseau. Elle a tendance au contraire à s’étioler par son instabilité. Le mode de gouvernance sociocratique est né pour réconcilier la structure hiérarchique et la participation active de chacun à un projet collectif. Pour cela, il faut garantir que nul ne pourra imposer une décision sans tenir compte de ceux qui auront à en supporter les conséquences. C’est le principe de l’équivalence : les membres d’une organisation ne sont pas égaux en compétences, en responsabilité, mais leur voix a autant d’importance pour que l’organisation reste dynamique et vivante. Ces intentions peuvent évoquer le mode de fonctionnement des coopératives, dans lesquelles les associés prennent leurs décisions avec la règle « 1 personne = 1 voix », et non en fonction des parts du capital détenu. Mais dans un vote, la majorité l’emporte et a le droit de ne pas prendre en compte les positions minoritaires : dans ce cas, l’équivalence est rompue. D’autres pratiques consistent alors à prendre les décisions lorsqu’un consensus est trouvé. Une difficulté est alors de chercher à ce que tous soient d’accord avec une proposition, ce qui peut être très long et n’aboutir qu’à un compromis insatisfaisant. Pour éviter cet écueil, le groupe peut avoir tendance à ne pas exprimer de désaccords, de réticences, et dans ce cas c’est la position du leader qui s’impose sans discussion. Dans une organisation sociocratique, les décisions d’orientation sont prises d’une autre manière, qui garantit à la fois l’efficience du travail collectif, et l’intégration de la voix de chacun à équivalence. Les origines du mode de gouvernance sociocratique remontent aux pratiques d’une société philanthropique anglo-saxonne, les Quakers. Elles ont été mises en oeuvre aux Pays-Bas dans l’école d’un pédagogue audacieux, Kees Boeke (1884-1966). Gerard Endenburg a fait toute sa scolarité dans cette école puis est devenu ingénieur en électromécanique. Il a repris l’entreprise familiale et a voulu y adapter ce mode de fonctionnement. Mais dans une entreprise, la sociocratie devait protéger les intérêts des toutes les parties prenantes, investisseurs compris, et garantir l’atteinte des objectifs de l’entreprise, sans dépendre de la qualité de confiance entre les employés pour prendre des décisions unanimes. C’est pourquoi il s’est inspiré de la théorie des systèmes et a formulé des règles permettant l’auto-organisation d’une structure sociale. Il les a appliqué avec succès dans son entreprise depuis plus de 35 ans, et ses salariés ne renonceraient pour rien au monde à leur façon de prendre les décisions. La sociocratie s'est particulièrement développée en Hollande et suscite des applications nombreuses ailleurs en Europe (en France notamment), en Amérique latine, aux États-Unis et au Canada.

jeudi 16 mai 2024

https://www.le-democrate.fr/mumble-constituant

https://www.le-democrate.fr/mumble-constituant
Issu des Gentils Virus, Mumble Constituant est une initiative citoyenne collaborative ayant pour objectif d’écrire une Constitution complète avec un maximum de participants. Mettre concrètement nos compétences au service de l’élaboration d’une Constitution citoyenne !

https://legouv.fr/

L’association loi 1901 La Transition présente « Le Gouv », générateur d’idées et d’actions qui met en scène un gouvernement à but non lucratif afin de montrer qu’une autre politique est possible. Le Gouv a vocation à réunir au même endroit la créativité des meilleurs experts et expertes, au service de propositions concrètes qui répondent aux attentes exprimées par les Français. Se situant au-delà des partis politiques, cet exercice de gouvernement d’intérêt public s’affranchit des étiquettes et ne s’interdit rien, car il est un processus en cours qui se nourrit de propositions citoyennes comme celles du « Vrai débat » et des compromis fructueux entre ses ministres venus de tous les horizons. Le Gouv est orchestré par sa délégation générale et trouve son équilibre dans le respect des arbitrages de la présidence plurielle.

vendredi 3 mai 2024

https://www.liberté-vérité.fr

https://www.liberté-vérité.fr 

 

Bienvenue sur

Tout le monde a le droit à une 
information éclairée et vérifiée avant tout. 
Nous vous apportons l'information 
nécessaire pour affûter votre réflexion aux débats de ce qui vous préoccupe, sans jamais vous donner notre choix. Seul, le votre compte. Nos informations sont variées afin de convenir à tous les niveaux et besoins. Contactez-nous pour toutes questions.

 

la savoie en mai


 

Illégalité du "Traité de Lisbonne" Patrice André


 

Illégalité du "Traité de Lisbonne" Patrice André

En Lorraine, la "première usine au monde" qui recycle ce qui ne se recycle pas

https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/en-lorraine-la-premiere-usine-au-monde-qui-recycle-ce-qui-ne-se-recycle-pas_178166?utm_source=pocket-newtab-fr-fr 

 

Recycler biologiquement les barquettes alimentaires en plastique qui finissent habituellement à l'incinérateur est désormais possible: après avoir mis au point une technologie innovante, l'entreprise Carbios s'apprête à ouvrir "la première usine au monde" du genre, dans l'est de la France.

Avec sa technologie, l'entreprise dit pouvoir recycler des produits dont personne ne veut. Des flacons, barquettes ou d'anciens habits notamment, même de mauvaise qualité ou sales, sont les plus recherchés par l'entreprise, car la plupart des autres sociétés de recyclage ne les traitent pas.

"La qualité du déchet entrant ne nous intéresse pas, on cherche même des déchets médiocres", explique à la presse le directeur général de Carbios, Emmanuel Ladent. "Avec une technologie comme Carbios, on va aller chercher tout ce que les autres ne recyclent pas".

Cette solution offrira à ces déchets difficiles à recycler un "recyclage circulaire, leur conférant de la valeur et les empêchant ultimement d'être enfouis ou incinérés", résume le groupe implanté à Clermont-Ferrand à l'occasion de la pose de la première pierre de son usine à Longlaville (Meurthe-et-Moselle).

Concrètement, une enzyme, créée par l'entreprise, a la capacité, lorsqu'elle est mêlée, dans une cuve, à des déchets, de séparer les différents composants du déchet et de mettre de côté le polyéthylène téréphtalate (PET).

Il faut environ un kilo d'enzymes pour une tonne de PET, explique M. Ladent. "Au bout de quelques heures, on a un liquide qui sort", après que l'enzyme a permis de faire la séparation du PET.

Il reste ensuite des étapes de filtration et de purification permettant la fabrication de PET entièrement biorecyclé, "sans en compromettre la qualité", selon M. Ladent.

- Peu de pertes -

Les plastiques PET sont très utilisés, mais encore actuellement majoritairement créés à partir de matières pétrolières et non issus du recyclage.

Avec ce processus, pour "une tonne de déchets préparés, on sort 90% de matériau", explique M. Ladent, un chiffre "parmi les plus élevés" dans les différentes techniques de recyclage. Le reste sort "sous forme d'un gâteau, ce sont des particules, qui sera un très bon consommable, c'est idéal par exemple pour de l'énergie pour une cimenterie"

hors la loi