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Illégalité du "Traité de Lisbonne" Patrice André
Illégalité du "Traité de Lisbonne" Patrice André
En Lorraine, la "première usine au monde" qui recycle ce qui ne se recycle pas
Recycler biologiquement les barquettes alimentaires en plastique qui finissent habituellement à l'incinérateur est désormais possible: après avoir mis au point une technologie innovante, l'entreprise Carbios s'apprête à ouvrir "la première usine au monde" du genre, dans l'est de la France.
Avec sa technologie, l'entreprise dit pouvoir recycler des produits dont personne ne veut. Des flacons, barquettes ou d'anciens habits notamment, même de mauvaise qualité ou sales, sont les plus recherchés par l'entreprise, car la plupart des autres sociétés de recyclage ne les traitent pas.
"La qualité du déchet entrant ne nous intéresse pas, on cherche même des déchets médiocres", explique à la presse le directeur général de Carbios, Emmanuel Ladent. "Avec une technologie comme Carbios, on va aller chercher tout ce que les autres ne recyclent pas".
Cette solution offrira à ces déchets difficiles à recycler un "recyclage circulaire, leur conférant de la valeur et les empêchant ultimement d'être enfouis ou incinérés", résume le groupe implanté à Clermont-Ferrand à l'occasion de la pose de la première pierre de son usine à Longlaville (Meurthe-et-Moselle).
Concrètement, une enzyme, créée par l'entreprise, a la capacité, lorsqu'elle est mêlée, dans une cuve, à des déchets, de séparer les différents composants du déchet et de mettre de côté le polyéthylène téréphtalate (PET).
Il faut environ un kilo d'enzymes pour une tonne de PET, explique M. Ladent. "Au bout de quelques heures, on a un liquide qui sort", après que l'enzyme a permis de faire la séparation du PET.
Il reste ensuite des étapes de filtration et de purification permettant la fabrication de PET entièrement biorecyclé, "sans en compromettre la qualité", selon M. Ladent.
- Peu de pertes -
Les plastiques PET sont très utilisés, mais encore actuellement majoritairement créés à partir de matières pétrolières et non issus du recyclage.
Avec ce processus, pour "une tonne de déchets préparés, on sort 90% de matériau", explique M. Ladent, un chiffre "parmi les plus élevés" dans les différentes techniques de recyclage. Le reste sort "sous forme d'un gâteau, ce sont des particules, qui sera un très bon consommable, c'est idéal par exemple pour de l'énergie pour une cimenterie"-
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