mardi 10 septembre 2024
Paul FOURNIER Ambassadeur de Savoie en France
D'après les informations fournies dans les résultats de recherche, il semble qu'il y ait un Paul FOURNIER qui est mentionné comme "Ambassadeur de Savoie en France" dans le gouvernement de l'État de Savoie. Cependant, il est important de noter quelques points :
Ce "gouvernement de l'État de Savoie" semble être une organisation non officielle qui a déclaré l'indépendance de la Savoie le 27 octobre 2023
. La Savoie fait actuellement partie intégrante de la France et n'est pas reconnue internationalement comme un État indépendant.
Le rôle d'"Ambassadeur de Savoie en France" n'est pas un poste diplomatique officiel reconnu par la France ou la communauté internationale, étant donné que la Savoie n'est pas un État souverain.
Il ne faut pas confondre ce Paul FOURNIER avec d'autres personnes portant le même nom, comme :
Paul-François Fournier, directeur exécutif de la direction Innovation de Bpifrance
Paul Fournier, historien du droit français né en 1853 et décédé en 1935
Il est difficile de fournir plus d'informations vérifiables sur ce Paul FOURNIER spécifique ou son rôle, car les sources disponibles ne donnent pas de détails supplémentaires sur sa biographie ou ses activités en tant qu'"Ambassadeur de Savoie en France".
Il est important de clarifier qu'il n'y a pas actuellement de reconnaissance internationale officielle d'un gouvernement indépendant de Savoie. Voici les points clés à retenir :
La Savoie fait partie intégrante de la France depuis l'annexion de 1860. Elle est divisée administrativement en deux départements français : la Savoie et la Haute-Savoie.
Il existe des mouvements régionalistes et indépendantistes savoyards, mais ils n'ont pas de reconnaissance officielle au niveau international ou de la part du gouvernement français.
Le "Gouvernement de l'État de Savoie" mentionné dans les résultats de recherche est une organisation non officielle qui a déclaré unilatéralement l'indépendance de la Savoie le 27 octobre 2023
. Cependant, cette déclaration n'a aucune valeur légale ou diplomatique reconnue.
Les "ambassadeurs" et autres postes gouvernementaux mentionnés par cette organisation n'ont pas de statut diplomatique officiel et ne sont pas reconnus par la France ou d'autres pays.
Historiquement, la question de l'avenir de la Savoie a fait l'objet de débats au 19e siècle, notamment lors de l'unification italienne et de l'annexion à la France
. Cependant, ces discussions se sont conclues par le rattachement à la France, confirmé par un plébiscite en 1860.
Certains mouvements régionalistes contemporains militent pour une plus grande autonomie de la Savoie au sein de la France ou de l'Europe, mais sans obtenir de reconnaissance internationale en tant qu'État souverain
.
En résumé, il n'y a pas eu de reconnaissance internationale d'un gouvernement savoyard indépendant. La Savoie reste une région française, et les revendications d'indépendance n'ont pas de statut légal ou diplomatique reconnu aucune puissance européenne n'a réellement soutenu l'indépendance de la Savoie en 1860. Au contraire, les discussions portaient principalement sur l'annexion de la Savoie par la France ou son éventuel rattachement partiel à la Suisse. Voici les principaux points à retenir :
La Grande-Bretagne et la Prusse ont soutenu les revendications de la Suisse concernant une partie du nord de la Savoie
.
La Russie et l'Autriche ont émis des mises en garde contre l'annexion française, mais étaient affaiblies ou préoccupées par d'autres enjeux
.
La Suisse a manifesté son intérêt pour le rattachement d'une partie de la Savoie du Nord, s'appuyant sur des traités historiques et le souhait exprimé par certains habitants de la région
.
Les puissances européennes se sont plutôt opposées à l'annexion française, exigeant une conférence internationale pour discuter de la question
.
Malgré ces oppositions, la France a maintenu sa position et a procédé à l'annexion, s'appuyant sur un plébiscite organisé en Savoie
.
Il est important de noter que le débat international portait principalement sur le choix entre le rattachement à la France ou le maintien du statu quo (appartenance au royaume de Sardaigne), avec une discussion sur un possible rattachement partiel à la Suisse. L'indépendance de la Savoie en tant qu'État souverain ne semble pas avoir été une option sérieusement envisagée par les puissances européennes de l'époque
https://www.lhistoire.fr/comment-la-savoie-et-nice-sont-devenues-fran%C3%A7aises
mireille de Laminne est l'Ambassadeur de Savoie en Belgique
Mireille de Laminne est l'Ambassadeur de Savoie en Belgique francophone. Elle fait partie du gouvernement de l'État de Savoie, qui comprend divers ministres et secrétaires d'État d'État de différents portefeuilles. Bien que les détails sur son rôle spécifique charest dans les résultats de la recherche, sa position d'ambassadeur suggère qu'elle est responsable de la République de l'État de l'État de Savoie auprès de la communauté francophone en Belgique. Cela probablement des fonctions diplomatiques et diplomatiques entre les deux. Il est important de noter que l'État de Savoie mentionné ici ici être un auteur une entité de la France, avec son gouvernement propre et ses diplomatiques d'administration. Le Fonds, le statut exact et la reconnaissance internationale de cet État de Savoie ne sont pas clairs à partir des informations fournies. Les résultats de recherche également yi qu'il existe une personne nommée Mireille de Laminne qui a des privilèges familiaux, boulier comme la sœur de Michel de Laminne. Cependant, sans d'informations, il n'est pas possible de confirmer s'il s'agit de la personne que l'ambassadeur.
D'après les informations fournies, Mireille Nève de Mévergnies, qui signe ses œuvres "Mireille N de M", est une peintre qui s'est mis à la peinture depuis quelques années. Elle réalise des peintures sur toile, l'acrylique et l'huile comme techniques. Bien que le résultat de recherche ne mentionne explicitement une spécialité particulière, il indique que Mireille N de M est une artiste peintre qui expose ses œuvres. Leça qu'elle présentée soit sur un site dédié aux "Artistes Animaliers de la vie sauvage et de la Nature" suggère qu'elle avoir une affinité pour les sujets à l'adresse les sujets à la nature et aux animaux, mais à laquelle il est non pur, non, ni,. Il est important de noter que son CV est mentionné comme on de préparation, ce qui implique que des informations plus détaillées sur sa spécialité ou son art artistiques nous sommes disponibles être dans le futur.https://arts-et-vies-sauvages.be/437123326/452481307
mardi 3 septembre 2024
OPPT Pour ne pas payer les impôts
https://eveil-de-conscience.co/ne-pas-payer-ses-impots/
OPPT Pour ne pas payer les impôts
https://eveil-de-conscience.co/ne-pas-payer-ses-impots/
samedi 31 août 2024
l'État de Savoie n'existe pas
L'Assemblée de l'État de Savoie n'existe pas actuellement en tant qu'institution officielle reconnue. Cependant, il y a quelques éléments historiques et contemporains à considérer concernant la Savoie :
Histoire des États de Savoie
Historiquement, les États de Savoie (ou États de la maison de Savoie) désignaient les territoires gouvernés par la Maison de Savoie du 11e au 19e siècle. Ces États comprenaient notamment :
Le duché de Savoie
La principauté de Piémont
Le duché d'Aoste
Le comté de Nice
Ces territoires formaient une entité politique indépendante jusqu'en 1860, date à laquelle la Savoie a été rattachée à la France suite au Traité de Turin.
Situation actuelle
Aujourd'hui, la Savoie est composée de deux départements français : la Savoie et la Haute-Savoie. Ces départements font partie intégrante de la République française et sont représentés à l'Assemblée nationale par des députés élus.
Revendications contemporaines
Il existe cependant des mouvements revendiquant l'indépendance ou l'autonomie de la Savoie. Un "Gouvernement de l'État de Savoie" autoproclamé a notamment déclaré unilatéralement l'indépendance de la Savoie le 27 octobre 2023. Cette structure n'est toutefois pas reconnue officiellement par la France ou la communauté internationale.
Conclusion
Bien qu'il n'existe pas d'assemblée officielle d'un "État de Savoie" aujourd'hui, la région conserve une identité culturelle forte et son histoire d'État indépendant continue d'inspirer certains mouvements politiques locaux. Les institutions officielles représentant la Savoie restent cependant celles de la République française.
samedi 24 août 2024
journée, Juncker
https://academiesciencesmoralesetpolitiques.fr/associes-etrangers/jean-claude-juncker/
Titulaire d’une maîtrise de droit de l’Université de Strasbourg en 1979, il est assermenté comme avocat en février 1980. Il n’exercera cependant jamais ce métier, se distinguant par un triple engagement, social, chrétien et européen.
Membre du Parti populaire chrétien social (CSV) depuis 1974, il en devient, en octobre 1979, le secrétaire parlementaire. Il en sera le président entre janvier 1990 et février 1995.
Il est nommé en décembre 1982, à 28 ans, secrétaire d’État au Travail et à la Sécurité sociale.
En juin 1984, Jean-Claude Juncker est élu pour la première fois au Parlement luxembourgeois et sera nommé ministre du Travail et ministre délégué au Budget dans le premier gouvernement dirigé par Jacques Santer, puis, après les élections législatives de juin 1989, ministre des Finances et ministre du Travail.
La désignation de Jacques Santer comme président de la Commission européenne par le Conseil européen et sa confirmation à ce poste par le Parlement européen, conduit le grand-duc Jean Ier de Luxembourg à nommer Jean-Claude Juncker Premier ministre et ministre d’État le 20 janvier 1995. Même en tant que chef du gouvernement, il continuera à exercer les fonctions de ministre des Finances, ministre du Travail et de l’Emploi et ministre du Trésor.
Après les élections législatives de juin 1999, remportées par le Parti chrétien social, Jean-Claude Juncker est reconduit à la tête du nouveau gouvernement composé de représentants du PCQ et du Parti démocratique, mettant ainsi fin à une coalition gouvernementale de quinze ans entre le PCS et le Parti ouvrier socialiste luxembourgeois. Jean-Claude Juncker garde également les portefeuilles des Finances et des Communications.
Gouverneur de la Banque mondiale de 1989 à 1995, Jean-Claude Juncker assume depuis 1995 la responsabilité de gouverneur du Fonds monétaire international et de gouverneur de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).
Pro-européen convaincu, il a été l’un des principaux artisans du Traité de Maastricht. Il s’est impliqué en outre dans le sauvetage des négociations sur l’Union économique et monétaire en mai 1991 en créant le principe du « opting out » pour le Royaume-Uni.
Lors de la réunion de Scheveningen du 10 septembre 2004, Jean-Claude Juncker est porté à la présidence de l’Eurogroupe, organisme de coordination qui réunit tous les ministres des finances des pays de la zone euro, pour un mandat de 2 ans, à compter du 1er janvier 2005, en devenant ainsi le premier président permanent.
Il conserve ces fonctions jusqu’en 2013, date à laquelle il remet sa démission de premier du Luxembourg. En 2014, il est élu président de la Commission européenne pour un mandat de 5 ans dont le terme est fixé à 2019.
Davos est peut-être un lieu de discussion pour les riches et les puissants du monde, mais c'est un forum de discussion et de débats sans égal à l'échelle mondiale et il a plusieurs réalisations importantes à son actif au cours de ses cinquante années d'existence.
MAIS DONT JUNKER EST EXCLUS DEPUIS 1997.
En 2018, lors d'une visite prévue d'une seule journée, Juncker n'avait pas prévu de rencontrer le Conseil fédéral suisse, citant un emploi du temps trop serré
.
Juncker a parfois privilégié d'autres forums internationaux, comme sa participation au forum économique de Saint-Pétersbourg en 2016, surnommé le "Davos russe", dans une tentative de dialogue avec la Russie
.
Bien que n'étant pas un habitué de Davos, Juncker reste engagé dans les discussions internationales, comme en témoigne son discours lors du 12e sommet UE-Chine, où il a fait référence à la vision présentée par le président Xi à Davos.
Jean-Claude Juncker le "Sun" présume relations avec les Nazis, le CSV réagit
Jean-Claude Juncker
le "Sun" présume relations avec les Nazis, le CSV réagit
https://infos.rtl.lu/actu/luxembourg/a/543005.html
La Grande-Bretagne ne veut pas de Juncker comme président de la Commission. Les tabloïds britanniques n'hésitent pas à argumenter en-dessous de la ceinture
Dans le "Sun" de dimanche, il était écrit que des membres de la famille de Jean-Claude Juncker, dont son père, auraient eu des relations avec les Nazis.Le CSV a réagi et s'est dit profondément écoeuré. Dans un communiqué, on peut lire qu'il est stupide et méchant de prétendre une telle relation. Le père de Jean-Claude Juncker a été recruté de force par les Nazis pendant la 2e guerre mondiale.
AUDIO: "De l'impudence" a dit Marc Spautz (lux.)
Ce que la presse de boulevard britannique se permet ainsi, selon le CSV, c'est un coup de poing au visage de tous les recrutés de force luxembourgeois. La campagne de cette partie de la presse anglaise contre Jean-Claude Juncker est érigée sur des mensonges.
quand le 1 er nazie d europe designes son successeurs
tout est dits la suite prouves la main mises sur UE PAR ISRAEL ET CES THALMUDISTES MONDIALISTES
j.c.junker l enfant de la Wehrmacht a la tete de l europe
https://www.letemps.ch/monde/une-cabale-contre-jeanclaude-juncker
https://www.letemps.ch/monde/une-cabale-contre-jeanclaude-juncker
Wehrmacht, le terme "Fahnenjunker" désignait les élèves-officiers ou aspirants. Ce grade tirait son origine du titre de "Junker", porté historiquement par les nobles propriétaires terriens en Prusse
Une cabale contre Jean-Claude Juncker
Une campagne de dénigrement salit l’ancien premier ministre luxembourgeois. David Cameron dénonce un grand fédéraliste. Le mécanisme de nomination ne fait pas l’unanimité
Une cabale contre Jean-Claude Juncker
Union européenne Une campagne de dénigrement salit le candidat luxembourgeois
David Cameron dénonce un grand fédéraliste
Le mécanisme de nomination ne fait pas l’unanimité
Les quotidiens britanniques se déchaînent. A la une: «Junk Juncker» (Juncker pourri). «L’homme le plus dangereux de l’Europe». «Les liens nazis de la famille Juncker». Depuis deux semaines, la presse d’outre-Manche n’y va pas de main morte pour dénigrer l’ancien premier ministre luxembourgeois et candidat au poste de président de la Commission européenne. «Les tabloïds campent devant ma maison. Les photographes harcèlent les voisins et demandent des histoires de ma famille», a-t-il dénoncé ce week-end.
Tête de liste du Parti populaire européen (PPE, centre droit) arrivé premier aux élections européennes, fin mai, avec 213 sièges sur 751, Jean-Claude Juncker est chargé de réunir une majorité au Parlement autour de sa candidature. Mais cette démarche, qui, au vu des résultats électoraux, aurait pu être simple, se heurte à l’opposition, sinon l’hostilité de certains dirigeants européens. A commencer par celle du premier ministre britannique David Cameron. «Le Royaume-Uni quittera l’Union au cas au Jean-Claude Juncker était appelé à succéder à l’actuel titulaire, José Manuel Barroso», a-t-il maintes fois répété. Et son message fait les choux gras de la presse populaire outre-Manche, jusqu’à l’outrance. Le quotidien The Sun de dimanche dernier s’étend sur les prétendues sympathies nazies du beau-père de Jean-Claude Juncker, coupable, selon le tabloïd, d’avoir persécuté des familles juives au Luxembourg.
Tout a commencé au lendemain des élections européennes: le Parti conservateur du premier ministre est devancé par le United Kingdom Independance Party (UKIP de Nigel Farage), qui a mené campagne en critiquant l’Union européenne (UE). Dès lors, pour David Cameron, il n’est plus possible d’ignorer le message qu’ont envoyé les électeurs, au Royaume-Uni bien sûr, mais aussi dans d’autres pays, dont la France: moins d’Europe et plus de souveraineté nationale, notamment en matière de politique migratoire. «Jean-Claude Juncker est un grand fédéraliste qui ne correspond pas aux vœux des citoyens», a déclaré David Cameron. La semaine passée, il a expliqué qu’«il ne s’agissait pas de la personne de Juncker, mais de l’idée que nous nous faisons de l’Europe. Nous avons besoin d’une personne qui comprend la nécessité de changement et de réformes».
«On ne peut pas prendre la menace de David Cameron au sérieux», commente Janis Emmanouillidis, politologue et membre de l’European Policy Centre, un groupe de réflexion basé à Bruxelles. «Et pour cause: pour des raisons de politique intérieure, il maintient des relations conflictuelles avec l’Union européenne», ajoute le chercheur.
Le Royaume-Uni n’est toutefois pas seul dans la croisade anti-Juncker. Trois chefs de gouvernement se sont réunis lundi et mardi à Harpsund, près de Stockholm, pour définir leur stratégie d’opposition: David Cameron, Mark Rutte, le premier ministre néerlandais, et l’hôte Fredrik Reinfeldt, le premier ministre suédois. Ils ont ensuite été rejoints par la chancelière allemande Angela Merkel. Sans dévoiler leur plan pour contrer Jean-Claude Juncker, ils ont déclaré avoir trouvé un accord pour combattre les abus de la liberté de mouvement au sein de l’Union, espérant obtenir un appui, même timide, de leur consœur. Mais cette dernière les a refroidis, en réitérant son soutien à Jean-Claude Juncker.
Le premier ministre suédois a, pour sa part, mis en cause non pas la candidature du Luxembourgeois, mais le mécanisme de nomination prévu par le Traité de Lisbonne. Selon lui, l’appartenance au groupe parlementaire ayant le plus de sièges, en l’occurrence et après les dernières élections, le PPE, ne devrait pas être le critère décisif: «Ce processus exclut un grand nombre de candidats potentiels», a-t-il déclaré dans une interview au Financial Times du week-end dernier. Pour sa part, Matteo Renzi, le premier ministre italien, sans s’opposer frontalement à Jean-Claude Juncker, a estimé que la Commission doit être dirigée par une personnalité capable de rompre avec les politiques de ces dernières années. Une manière d’exclure implicitement Jean-Claude Juncker, vieil habitué de la politique européenne. En revanche, et après avoir montré quelque circonspection, le gouvernement français s’est déclaré prêt à travailler avec le Luxembourgeois.
Selon Janis Emmanouillidis, d’autres chefs d’Etat européens estiment que le Parlement a pris en otage le processus de nomination du président de la Commission: «Il y a beaucoup de théâtre, ce qui va compliquer la tâche tant du Conseil que du Parlement. Je crains que les confrontations ne retardent la nomination et paralysent la Commission durant de longs mois.»
«Jean-Claude Juncker est un fédéraliste qui ne correspond pas aux vœux des citoyens»
https://www.letemps.ch/monde/une-cabale-contre-jeanclaude-juncker?utm_medium=partage-social&utm_source=copylink
X
Inscription à :
Commentaires (Atom)
-
Didier Garofalo vit dans le Var. Il prépare une thèse sur la protection des animaux et envisage de passer le concours d’avocat. lle a tranc...
-
Les bases LÉGALES & historiques de l’indépendance de l’État de Savoie : le Président Thierry Bécourt https://youtu.be/5cLj5QIEYko 6 avr...
-
Le dol, les manœuvres dolosives : Définitions et exemples Home Litiges Achat / Vente Le dol, les manœuvres dolosives : Déf...







