COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Arrestation avec violences et séquestration arbitraire du Président du Gouvernement de l’Etat de Savoie et de quatre ministres en exercice.
« Quand le procureur de la République veut « réparer » l’agression injustifiée commanditée par le préfet de Savoie. »François Ravier,
Non contentes d’avoir brisé une vertèbre de notre Ministre des Finances, le 18 mars 2024, la police aux ordres de la Préfecture de Chambéry réitère ses actions de despotisme envers les représentants de Savoie trois semaines plus tard.
Ce mercredi 10 avril 2024 à 12H30, une vingtaine de policiers ont fait irruption dans le restaurant du Musée des Beaux-Arts, face à la Cour d’Appel de Chambéry, devant plus de 60 convives abasourdis, pour procéder à l’arrestation musclée et violente du Président du Gouvernement de l’État de Savoie et des ministres de l’Intérieur, de l’Instruction, des Relations publiques et de la Sécurité civile, qui l’accompagnaient.
Digne
des films ‘Z’ ou ‘l’Aveu’ de Costa Gavras, cette police,
digne des heures les plus sombres de notre histoire a extrait par la
force les 5 représentants du gouvernement
bénéficiant pourtant du
statut diplomatique de la Convention de Vienne de 1961 en plein
déjeuner et face à des convives ébahis.
Notre délégation officielle venait de quitter son siège national actuellement occupé par la République française sous couvert de Préfecture, pour remettre à François Ravier, actuel préfet Illégitime de Savoie, deux courriers concernant le rappel à la négociation et une lettre de change. Courriers qui depuis des années souffrent de l’omerta et du mépris de la RF.
Depuis un mois, le mépris du droit et des règles internationales n’a donc trouvé que la violence pour réponse. La violence est l’arme des faibles et des perdants.
Les faits :
Après avoir déposé lesdites lettres au service courrier et après quelques échanges cordiaux avec quelques membres de cette administration dont le responsable de la sécurité, les cinq membres du Gouvernement précités se sont vus interpellés par des policiers en armes du Commissariat de Chambéry, sur la route de la Cour d’Appel où ils se rendaient.
Ces hommes en armes mandatés par la Préfecture, étaient chargés d’effectuer leurs arrestations sous couvert d’un contrôle d’identité inopiné prétextant un trouble de l’ordre public ou voie de fait…
Refusant de décliner leur identité à cette milice agressive, la délégation s’est rendue face à la Cour d’Appel pour un déjeuner avec l’intention de déposer pour 14 h, leur courrier à l’ouverture du Tribunal.
A 12h30, 20 policiers vont interrompre violemment leur repas pour les emmener au commissariat de police.
Devant son refus d’obtempérer, le président a été molesté, brutalement menotté dans le dos, comme sa septuagénaire Ministre de l’Instruction avant de les amener ainsi menottés et méprisés, comme de simples malfaiteurs vers leur ‘hôtel de police’.
Cette arrestation arbitraire, sur ordre de la Préfecture, subitement et contre toute attente, a été stoppée à 17 h par le Substitut du Procureur contre l’avis du Préfet, qui notifia une libération inconditionnelle, sans audition ni enquête dans un dossier qui ne pourrait être consulté avant un an !
Ce dernier ayant appris cette arrestation arbitraire en violation de toutes les Conventions lors de la première audition du Ministre de l’Intérieur, s’est empressé de mettre fin à cet acte indigne lourd de conséquences pour les agissements de la RF sur le sol de Savoie, sa dernière colonie.
On précisera que la délégation Gouvernementale, bénéficiant pourtant du statut diplomatique du fait des Conventions Internationales dont celle de Vienne, n’a eu à aucun moment la possibilité de contacter les services du Procureur, ce qui aurait instantanément mis fin à cette « farce Républicaine ».
A la violation manifeste de la convention de vienne de 1961 s’ajoute un abus de pouvoir et une arrestation arbitraire manifestes. Sans compter le harcèlement, les fautes professionnelles et la violence avec circonstances aggravantes dont se rendent coupables les auteurs !
Cette intervention déshonore une Police Nationale en leur donnant une dimension internationale.
Face à ces faits délictueux, nous ne pouvons que nous satisfaire de l’intervention dictée par le droit du procureur de la République, offrant le triste spectacle de la déliquescence de la République Française et de ses serviteurs zélés en uniforme.
Cet incident grave signe la dichotomie entre le pouvoir administratif et le pouvoir judiciaire, entre le politique et le juridique.
Il est plus que temps que la RF se mette enfin à la table des négociations.
Voilà ce qui se passe quand les êtres humains reprennent leur souveraineté, leur dignité et leur humanité.
La résistance Savoisienne est pacifique mais ferme et déterminée face à une République Française sournoise et, maintenant violente.
La liberté n'est jamais gratuite, mais la richesse qu'elle procure est incomparable à tout autre chose.
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