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mercredi 3 juillet 2024

DANS SON BUNKER ÉLYSÉEN, MACRON PRÉPARE SON PROCHAIN GOUVERNEMENT..

🤡 DANS SON BUNKER ÉLYSÉEN, MACRON PRÉPARE SON PROCHAIN GOUVERNEMENT.. ..avec les socialistes Boris Vallaud ou Valérie Rabault comme Premier ministre ! Certes, le soutien de Mélenchon lui donne plein d'espoir. Mais il serait quand même prudent d'attendre les résultats du 2e tour. À force de prendre les Français pour des débiles, dimanche soir il y aura le retour de manivelle. Comment une personne ayant voter pour la Macronie au 1er tour, peut-elle voter extrême gauche au second parce qu'on lui demande de le faire ? Comment un gauchiste va-t-il pouvoir voter Rothschild-Macron parce qu'on lui a demandé de le faire ? Je pense que les Français en ont plus qu'assez de ces petites combines entre amis.... Selon les informations fournies dans les résultats de recherche, il est peu probable que le Rassemblement National (RN) gouverne en France après les élections législatives de 2024, bien que la situation reste incertaine. Voici les principaux points à retenir : Le RN n'obtiendra probablement pas la majorité absolue (289 sièges) à l'Assemblée nationale. Les derniers sondages projettent entre 190 et 220 sièges pour le RN et ses alliés . Jordan Bardella, leader du RN, avait initialement déclaré qu'il refuserait de gouverner sans une majorité absolue. Cependant, cette position s'est légèrement assouplie . Marine Le Pen a indiqué que si le RN s'approche de la majorité absolue (par exemple avec 270 députés), ils chercheraient à attirer des députés d'autres partis pour former une coalition . Même si le RN devient le groupe le plus important à l'Assemblée, il pourrait être difficile pour eux de refuser Matignon s'ils n'ont qu'une majorité relative . En cas de majorité relative pour le RN, Emmanuel Macron pourrait demander aux députés de s'accorder sur un autre candidat pour le poste de Premier ministre . D'autres options sont envisagées, comme un gouvernement d'union excluant les "extrêmes" (LFI et RN), proposé par Xavier Bertrand . En conclusion, bien que le RN puisse obtenir un nombre important de sièges, il est peu probable qu'il gouverne seul. La formation d'un gouvernement dépendra des négociations post-électorales et de la capacité des différents partis à former des coalitions. Emmanuel Macron a clairement exprimé sa position concernant la formation du prochain gouvernement, en particulier face à un éventuel refus du Rassemblement National (RN) de gouverner : Macron a catégoriquement exclu de gouverner avec La France Insoumise (LFI), même si son camp s'est désisté en faveur de candidats de gauche pour faire barrage au RN . Le président a déclaré : "Se désister aujourd'hui pour des élus de gauche face au Rassemblement national ne signifie pas gouverner demain avec LFI" . En cas de majorité relative pour le RN et de refus de leur part de gouverner, Macron pourrait demander aux députés de s'accorder sur un autre candidat pour le poste de Premier ministre . Plusieurs options sont envisagées par Macron et son entourage en cas d'absence de majorité claire : Un gouvernement technique composé d'experts et de hauts fonctionnaires . Un gouvernement d'union nationale, allant "des gaullistes à la gauche", excluant les "extrêmes" . Un gouvernement de coalition avec d'autres forces politiques modérées . En dernier recours, Macron pourrait maintenir le gouvernement actuel dans la gestion des affaires courantes pour une courte période . Il est clair que Macron cherche à éviter une alliance avec les partis qu'il considère comme extrêmes, tout en explorant diverses options pour former un gouvernement fonctionnel, même en l'absence d'une majorité absolue pour son camp. Emmanuel Macron n'a pas l'intention de démissionner, quels que soient les résultats des élections législatives ou européennes. Voici les principaux points à retenir : Dans une lettre aux Français, Macron s'est engagé à rester à l'Élysée "jusqu'en mai 2027", quel que soit le résultat des élections législatives . La Constitution française limite le nombre de mandats présidentiels consécutifs à deux. Macron ne pourrait donc pas démissionner pour se représenter immédiatement à une nouvelle élection présidentielle . Une démission n'est généralement pas envisagée pour des élections intermédiaires comme les européennes ou les législatives. Historiquement, les présidents français n'ont pas démissionné après avoir perdu ce type d'élections . Cependant, en cas de blocage institutionnel majeur à l'Assemblée nationale, rendant impossible l'adoption de lois, certains considèrent qu'une démission pourrait être une option pour sortir de l'impasse . Les opposants politiques de Macron, notamment Marine Le Pen, ont suggéré qu'il devrait démissionner en cas de défaite importante, mais le président n'est pas constitutionnellement obligé de le faire . En conclusion, bien que la pression politique puisse augmenter en cas de résultats défavorables, Emmanuel Macron n'a pas l'obligation de démissionner et a clairement exprimé son intention de terminer son mandat actuel. Emmanuel Macron n'a pas de moyen légal de contourner la limitation constitutionnelle de deux mandats présidentiels consécutifs. Voici les principaux points à retenir : La Constitution française limite explicitement le nombre de mandats présidentiels consécutifs à deux depuis la réforme de 2008 . Macron a lui-même déclaré qu'il ne changerait pas la Constitution sur ce point, même s'il a exprimé son désaccord personnel avec cette règle . Pour modifier cette limitation, il faudrait une révision constitutionnelle, ce qui nécessiterait un large consensus politique difficile à obtenir actuellement. Macron ne peut pas démissionner avant la fin de son mandat pour se représenter immédiatement, car cela serait considéré comme un contournement de l'esprit de la loi. La seule possibilité théorique serait de quitter ses fonctions pendant une période significative (probablement plusieurs années) avant de se représenter, mais cela n'est pas réaliste politiquement. Cette limitation vise à éviter les dérives du pouvoir et à assurer le renouvellement politique, comme l'a souligné Nicolas Sarkozy qui a instauré cette règle . En conclusion, malgré son apparent désaccord avec cette limitation qu'il a qualifiée de "funeste connerie", Macron n'a pas de moyen légal ou réaliste de la contourner pour briguer un troisième mandat consécutif en 2027.JLS L'introduction d'un référendum révocatoire pour le mandat présidentiel en France présenterait plusieurs risques potentiels : Instabilité politique : La possibilité de révoquer un président en cours de mandat pourrait créer une instabilité politique chronique, perturbant la continuité de l'action gouvernementale. Paralysie décisionnelle : Face à la menace constante d'une révocation, le président pourrait hésiter à prendre des décisions impopulaires mais nécessaires, privilégiant des mesures à court terme pour préserver sa popularité. Instrumentalisation politique : L'opposition ou des groupes d'intérêts pourraient utiliser cette procédure comme un outil de pression permanent, entravant la capacité du président à gouverner efficacement. Coûts et logistique : L'organisation fréquente de référendums révocatoires serait coûteuse et logistiquement complexe. Risque de populisme : Cette mesure pourrait favoriser des approches populistes, où les décisions seraient prises en fonction de l'opinion publique immédiate plutôt que dans une perspective à long terme. Contradiction avec le système représentatif : Le référendum révocatoire pourrait être perçu comme contraire au principe de mandat représentatif, où l'élu dispose d'une certaine liberté d'action pendant la durée de son mandat . Fragilisation de la fonction présidentielle : La menace constante de révocation pourrait affaiblir l'autorité et la légitimité du président, tant sur le plan national qu'international. Polarisation accrue : Les campagnes pour ou contre la révocation pourraient exacerber les divisions au sein de la société. Incompatibilité constitutionnelle : L'introduction d'un tel mécanisme nécessiterait une révision majeure de la Constitution française, ce qui pourrait être difficile à réaliser politiquement . Il est important de noter que ces risques doivent être mis en balance avec les potentiels avantages démocratiques d'un tel système, comme une plus grande responsabilisation des élus et une participation accrue des citoyens à la vie politique. JLS. https://atlantico.fr/article/decryptage/risques-et-avantages-du-referendum-revocatoire-didier-mauss JLS.

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